Le groupe sécurité et prévention des risques a profité du Vendée Globe pour s’intéresser à l’organisation de la sécurité sur les bateaux pendant la course.
Ils ont pu découvrir que assurer l’intégrité physique des navigateurs est très complexe et que cela n’assure en rien d’éviter l’accident.
Pour rappel, 3 marins sont décédés depuis le premier Vendée Globe et seuls 114 sur 200 ont réussi à faire la boucle. Parmi ceux qui ont échoué, un certain nombre ont frôlé la mort.